Décès de Dominique Baudis : « L’Europe perd aujourd’hui un grand défenseur et la France un immense serviteur »

Publié le 11 Avril 2014

Réaction d'Yves Jégo, président de l'UDI

« Le décès brutal de Dominique Baudis bouleverse tous ceux qui l’ont connu et en particulier la famille centriste.

Pas son action d’élu local et son implication pour la Défense des droits, il était une référence qui marquera la Ve République.

L’Europe perd aujourd’hui un grand défenseur et la France un immense serviteur.

Son courage dans les épreuves qu’il a traversées mérite d’être cité en exemple » déclare Yves Jégo, président de l’UDI.

Réaction de François Sauvadet, vice-président du groupe UDI à l'Assemblée Nationale

« J’ai appris avec une immense tristesse le décès de Dominique BAUDIS, un ami et un homme avec lequel j’ai partagé de nombreux combats.

Sa disparition est une grande perte pour notre pays.

Il avait tissé des liens forts avec les Toulousains. De cet engagement local, il puisait des valeurs solides. C’était un humaniste, attaché au vivre-ensemble, attentifs aux autres.

Il a été l’un des acteurs essentiels et l’une des plus belles voix de la grande famille du centre, à laquelle il a tant apporté, à l’Assemblée Nationale comme au Parlement Européen, où cet Européen convaincu avait siégé de nombreuses années.

Son engagement comme Défenseur des droits, engagement qu’il aura assumé jusqu’au bout aux côtés des plus faibles de nos compatriotes, symbolise à lui seul la carrière et la vie de celui qui s’est toujours dévoué aux autres.

Toutes mes pensées vont à sa famille et ses proches. »

Réaction d'Hervé Morin, président du Conseil National de l'UDI

« Nous sommes profondément attristés d’apprendre ce jeudi le décès de Dominique Baudis, grande figure de la famille centriste dont il incarnait les valeurs humanistes portées par la pensée démocrate chrétienne », annonce Hervé Morin, président du Nouveau Centre et du conseil national de l’UDI.

« Journaliste réputé, européen convaincu, grand maire de Toulouse, premier Défenseur des droits, Dominique Baudis a exercé ces fonctions avec une haute idée de l’engagement politique et de la morale de l’action au service des autres.

Epris de justice et de liberté, il avait une très haute exigence de son rôle de défenseur des droits auprès des Français les plus vulnérables. Il avait, chevillée au cœur, cette conception du dévouement et du sens du devoir, qui en faisait une personnalité à la fois indépendante, passionnée et respectée. »

Réaction de Jean Arthuis, vice-président de l'UDI

« Je rends hommage à la mémoire de Dominique Baudis, illustre figure de la famille centriste.

Après une brillante carrière de journaliste, il s’est engagé dans la vie politique en assumant avec autorité et efficacité des mandats exécutifs à la mairie de Toulouse, à la présidence de la région Midi Pyrénées et en siégeant au Parlement européen.

Je salue un authentique humaniste et un vrai rassembleur. Avec humilité, il s’est affranchi des clivages partisans et s’est mis au service de la diversité culturelle et des droits fondamentaux en présidant l’Institut du Monde Arabe et en exerçant la mission de défenseur des droits.»

Réaction de François Zocchetto, président du groupe UDI-UC

« Centriste, démocrate social et chrétien, Dominique Baudis était l’incarnation du centrisme et de ses valeurs.

Maire emblématique de Toulouse, il a, au fil de ses trois mandats, transformé la cité rose sachant allier une grande rigueur dans la gestion des finances et une profonde humanité.

Député européen, il fut un ardent défenseur de l’idée d’une Europe forte et solidaire.

Aujourd’hui, c’est avec une sincère tristesse que j’apprends la disparition d’un représentant emblématique de la famille centriste. »

Réaction de Laurent Hénart, secrétaire général de l'UDI

Laurent Hénart, secrétaire général de l'UDI, fait part de sa plus vive douleur à l’annonce de la disparition de Dominique Baudis.

Pour les radicaux, Dominique Baudis est d’abord l’homme d’une ville, Toulouse, dont il fut le maire passionné durant vingt ans de 1983 à 2001 et dont il a piloté le formidable essor.

Homme de consensus et de dialogue, Dominique Baudis a également été un grand serviteur de la République et une figure incontestée des libertés publiques en tant que président du Conseil supérieur de l’audiovisuel puis comme Défenseur des Droits.

Européen convaincu, il était l’un des plus brillants représentants de l’humanisme à la française, fait d’ouverture, de culture et de fraternité. Avant d’être un homme politique, Dominique Baudis était un homme de bien, dont la dignité face à la calomnie n’a fait que renforcer la stature d’homme d’Etat.

L’ensemble des militants radicaux s’associent à la douleur de sa famille et rendent hommage à l’une des grandes figures centristes de ces vingt dernières années.

Rédigé par Section UDI Asnières sur Seine

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